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Dans un monde en constante évolution, où l'Intelligence Artificielle (IA) redéfinit le rôle et la valeur ajoutée de l'humain au travail, l'engagement des employés devient le cœur battant des organisations performantes. Olivier Bas, Vice Président du Groupe Havas, professeur à La Sorbonne, auteur et spécialiste de l’engagement en entreprise, et Florent Varin, Directeur de LCA // Solutions +, nous éclairent sur la synergie essentielle entre engagement humain et technologie : une combinaison stratégique cruciale pour naviguer efficacement à travers les transformations qui impactent les entreprises modernes.

LCA // Solutions +&nbsp;: Olivier, on vous présente - notamment - comme le spécialiste de l’engagement en entreprise. En quoi cela consiste-t-il précisément et surtout quels sont vos principaux axes d’action et d’intervention sur le sujet ?S’il y a bien un défi qui m'anime et qui me passionne, c’est celui de créer les conditions pour que les hommes et les femmes aient envie de s'engager dans des périodes de transformation significative, même si, par essence, ces périodes peuvent être perturbantes.&nbsp;Selon moi, la performance d'une personne ou d'un collectif se joue sur deux niveaux : ses compétences et son engagement. Et c’est l'alchimie entre ces deux aspects qui assure la performance au travail.&nbsp;Mais parlons plus précisément d’engagement. Pour engager efficacement les individus, surtout dans un contexte de changement, il convient de se concentrer sur deux aspects principaux. Le premier, c’est la motivation qui est directement rattachée à notre pensée raisonnée et rationnelle. Elle doit être alimentée par un équilibre entre les efforts fournis et les récompenses obtenues. Si cet équilibre est perçu comme juste, la motivation reste forte. Le deuxième aspect, c’est l'envie qui elle est rattachée à notre pensée intuitive et émotionnelle. Elle émerge lorsque nos actions et leurs résultats éveillent des émotions positives, comme la fierté ou le plaisir. Dans les moments de changement, cette envie peut être mise à l'épreuve. Il est donc crucial de la stimuler pour maintenir un niveau d'engagement élevé.&nbsp;Pour favoriser l'engagement, je concentre donc mon action sur deux piliers essentiels. Le premier consiste à équilibrer les efforts et les récompenses pour maintenir la motivation à un niveau optimal. Le second, quant à lui, vise à créer un environnement où les émotions positives prévalent, nourrissant ainsi l'envie de s'impliquer et de contribuer activement aux objectifs de l'entreprise. Ces démarches incluent des pratiques managériales qui reconnaissent et valorisent les contributions individuelles, ainsi qu'une communication transparente et motivante sur les bénéfices du changement pour chaque collaborateur.&nbsp;LCA // Solutions +&nbsp;: Engagement et technologies : un sujet particulièrement essentiel. Selon vous, comment la digitalisation permet-elle d’augmenter l’engagement des salariés ?Olivier - L'intégration de la technologie dans les processus d'entreprise est souvent source d’inquiétude. Nous en avons d’ailleurs une illustration forte avec l’avènement actuel de l’IA au cœur de nos quotidiens professionnels. L'un des grands enjeux consiste donc à clarifier la complémentarité entre l'Intelligence Humaine et l'IA et non à les considérer comme deux forces qui s’opposent. En démontrant que l'IA est un outil qui amplifie les capacités humaines et non qui les remplace, nous pouvons transformer la peur en engagement.Mais pour cela, il est crucial de bien communiquer cette perspective. Former les employés à exploiter l'IA de manière stratégique leur permet de comprendre qu'ils ne sont pas là pour simplement «&nbsp;faire fonctionner le système&nbsp;» mais pour «&nbsp;optimiser le fonctionnement du système&nbsp;». Cette évolution des rôles favorise un sentiment d'empowerment et d'appropriation qui est fondamental.&nbsp;Florent – Chez LCA // Solutions +, nous avons très vite compris que l'un des principaux défis avec l'adoption de l’IA, c’est de s'assurer que cette technologie renforce l'engagement en entreprise plutôt que de le menacer. A ce titre, notre démarche poursuit toujours le même objectif&nbsp;:&nbsp;utiliser cette technologie au service des métiers et non pas à la place des métiers.Notre gamme des Optis illustre parfaitement cette approche. Nous déployons ces outils non pour remplacer, mais pour optimiser les performances en redéfinissant les rôles et en adaptant les méthodologies. Ils permettent de systématiser l'accès aux données et de recentrer l’humain sur des tâches à plus forte valeur ajoutée – donc plus engageantes. Et les résultats sont là&nbsp;! Nous observons des économies de 20 à 30% grâce à cette nouvelle implication.Selon moi,&nbsp;la clé c’est de créer un dialogue continu sur les avantages de l'IA. On aborde directement les inquiétudes des employés et on les forme à maximiser ces nouvelles opportunités. En investissant dans le capital humain de cette façon, nous ne faisons pas seulement avancer notre efficacité opérationnelle, nous cultivons également un engagement profond et durable.&nbsp;LCA // Solutions +&nbsp;: Si je vous dis LCA // Solutions + et engagement, vous me répondez ?Olivier - Je vous réponds qu’il se construit à deux niveaux.&nbsp; Au niveau de l’équipe tout d’abord&nbsp;: elle sait démontrer un engagement profond, marqué par une forte responsabilité, une grande autonomie et un sentiment aigu du rôle à jouer. Mais cela va plus loin. En effet, il se joue aussi dans leur capacité à créer dans les coopératives agricoles un engagement des équipes de direction, du management, des collaborateurs pour faire face aux transitions particulièrement importantes qu’elles doivent amorcer.&nbsp;&nbsp;Florent - En effet, chez LCA // Solutions +, notre mission est d'accompagner les coopératives face aux défis actuels. Plus qu'un fournisseur de solutions, nous sommes des partenaires de transformation. Pour cela, nous utilisons une approche mixte qui combine le renforcement des compétences et l'innovation technologique pour maintenir et amplifier l'engagement. Nous sommes convaincus que le modèle coopératif est, par essence, engageant. C’est un modèle fort qu’il convient de maintenir et de faire rayonner sur le long terme par notre action. Nos cycles de management spécifiques en sont un très bon exemple&nbsp;: ils ont été conçus pour renforcer la collaboration, la motivation et la fierté au sein des coopératives.&nbsp;LCA // Solutions +&nbsp;- Enfin, sur cette question de l’engagement, quels sont, selon vous, les enjeux prioritaires à venir ?Olivier - L'enjeu majeur à venir c’est celui de l'adaptation des modèles organisationnels. Le défi est d'engager les employés dans un modèle qui reflète davantage une démocratie participative et où la liberté et l'influence remplacent la rigidité des anciennes structures de gouvernance.&nbsp;Florent - Chez LCA // Solutions +, nous pensons que pour renforcer l’engagement dans les années à venir, il convient de poursuivre nos efforts en travaillant de façon collective sur des leviers de transformation naturellement engageants : impact carbone, développement des compétences, optimisation de la performance des métiers grâce à l’IA. Des sujets multiples et des perspectives enthousiasmantes&nbsp;!&nbsp;

Regards croisés - Engagement à l'ère de l'IA : défis et stratégies

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« L’IA ne nous remplacera pas … mais une personne utilisant l’IA le fera » : plus qu’une conviction, le moteur de la dynamique de LCA // Solutions +. La mission engagée depuis quelques mois désormais est claire. Dans un monde où l’Intelligence Artificielle (IA) redéfinit le travail et l’industrie, il est essentiel d’accompagner les coopératives agricoles dans cette transition majeure. Florent Varin, Directeur de LCA // Solutions + et François Cazals, Professeur Adjoint à HEC et Directeur de Cazals & Partners, nous livrent leur vision croisée des enjeux que représente l’IA pour le secteur de la coopération agricole et de la stratégie déployée par LCA // Solutions +

Coopératives agricoles et IA : aujourd'hui, comment voyez-vous cette association ?François Cazals - L’IA et les coopératives agricoles, c'est une évidence, une combinaison naturelle. L'agriculture est en effet un secteur où la technologie a toujours joué un rôle clé. C’est une industrie capable de collecter des données multiples depuis de nombreuses années maintenant. Avec l'IA, on peut désormais pleinement valoriser ces données. C’est une formidable évolution !Florent Varin - J’y vois également une très belle opportunité. Car les coopératives agricoles peuvent devenir de vrais catalyseurs de cette transformation et renforcer ainsi, sur le long terme, leurs positions stratégiques. Par ailleurs, l’intégration de l’IA Systèmes Experts au cœur du fonctionnement de ces structures représente un avantage évident en matière d’attractivité : un enjeu incontournable du secteur !&nbsp;LCA // Solutions + a initié plusieurs projets autour de l'IA. Pouvez-vous nous détailler ces initiatives et leur impact sur les coopératives agricoles ?Florent Varin -&nbsp;Chez LCA // Solutions +, notre stratégie est claire : nous souhaitons accompagner et accélérer les transitions des coopératives agricoles par des solutions uniques. L’IA rentre naturellement dans ce champ d’action.&nbsp;Notre démarche se concentre sur deux axes complémentaires.&nbsp;L’acculturation, tout d’abord : nous proposons des séminaires et des formations dont l’objectif est de démystifier l'IA, de montrer qu'elle n'est pas seulement un concept abstrait, mais un outil stratégique et pratique.&nbsp;Ensuite, nos efforts se portent sur le déploiement de solutions concrètes à destination des coopératives. L’enjeu ? Convaincre de la valeur ajoutée de l’IA par la démonstration. Pour cela, nous avons développé des solutions concrètes comme OptiPlus, en collaboration avec l'ADEME. Cette solution ajoute des capacités prédictives aux outils agricoles existants, permettant ainsi d'anticiper les risques et d'améliorer les performances des processus. Par ailleurs, nous déployons l'IA générative pour répondre à des enjeux de création de contenu pédagogique mais aussi de chat conversationnel sur notre plateforme d’e-learning.&nbsp;À travers cette approche complémentaire, nous souhaitons jouer un rôle d’ambassadeurs de cette technologie : nous montrons concrètement ce que peut faire l'IA et favorisons ainsi une culture de l'innovation et de l'adaptation au cœur du secteur.&nbsp;Comment avez-vous développé votre expertise en IA pour soutenir ces initiatives ?Florent Varin -&nbsp;Notre intégration de l'IA a suivi un parcours structuré et réfléchi. Et cela a commencé avec une intervention de François au sein du parcours Aristée, qui a éveillé notre intérêt pour ce sujet et pour son potentiel stratégique.Nous avons ensuite déployé un processus en plusieurs étapes, allant de l'acculturation jusqu’à l'intégration de cette technologie dans nos stratégies.L’acculturation a été progressive : une formation sur ChatGPT pour familiariser l'équipe à l'outil et à l’art du prompt, suivie d'un séminaire stratégique pour inscrire l'IA dans notre vision d'entreprise. Autant d’étapes essentielles pour développer progressivement notre compréhension et notre capacité à utiliser l'IA efficacement.Nous avons alors basculé dans une phase d'application pratique en intégrant la technologie à nos projets. L’objectif ? Passer d'un concept innovant à un outil stratégique quotidien.L'accompagnement continu de François a été essentiel pour assurer cette intégration harmonieuse dans nos opérations.&nbsp;François, comment s'est construite votre collaboration avec LCA // Solutions +, en particulier sur les sujets liés à l'IA ?François Cazals -&nbsp;Notre collaboration avec LCA // Solutions +, c’est avant tout une histoire qui se construit et se consolide depuis de nombreuses années. Mes interventions dans les parcours de formation Aristée et Sénèque, associées à mon activité de conseil stratégique m’ont permis de développer des liens forts et une connaissance profonde du monde de la coopération agricole. Et c’est assez naturellement que cette collaboration de longue durée a ouvert la voie à des sujets plus innovants, comme l'IA. Lorsque LCA // Solutions + a commencé à s'intéresser à intégrer cette technologie dans sa stratégie, j’ai souhaité mettre mon expertise sur le sujet à leur service. Ensemble, nous avons progressivement exploré comment l'IA peut transformer le secteur, marquant une nouvelle étape dans notre partenariat.&nbsp;Quels sont, selon vous, les enjeux majeurs pour intégrer l'IA dans le secteur agricole ?François Cazals -&nbsp;Il y a selon moi deux enjeux prioritaires. Le premier est la prise de conscience des dirigeants. L'IA ne constitue pas une nouveauté passagère. Elle représente un puissant moteur de transformation. C'est essentiel que les leaders comprennent son impact sur leurs activités. Le deuxième enjeu, tout aussi primordial, est l'enjeu humain. Il s'agit de préparer et d'accompagner les équipes à intégrer l'IA dans leur travail quotidien. Cela implique de combiner l'intelligence humaine, collective et artificielle pour former ce qu’on appelle 'l'Intelligence Amplifiée'. Cette approche vise à créer une synergie entre les compétences humaines et la technologie, pour maximiser les bénéfices de l'IA tout en gérant les défis qu'elle présente.&nbsp;Quelle est votre vision pour l'avenir de l'IA dans les coopératives agricoles ?François Cazals -&nbsp;L'avenir repose sur la formation. Il est en effet essentiel de former pour bâtir une culture solide autour de l'IA et des données. Nous devons développer des compétences spécifiques et nous former aux nouvelles méthodes de travail. C’est la clé pour adopter et s'adapter aux évolutions à venir.Florent Varin -&nbsp;Grâce à l’IA, nous entrons dans une phase de découverte et d'innovations où de nouveaux concepts vont émerger. Vivre cette révolution est une opportunité unique et c’est très stimulant de pouvoir y jouer un rôle de catalyseur. Pour nous, transformer cette opportunité en réalité concrète est un défi passionnant.&nbsp;

Regards croisés - IA et coopératives agricoles : enjeux et stratégie

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Dans un monde agricole en constante évolution, il est essentiel de préparer la prochaine génération d'agriculteurs à devenir des acteurs proactifs au sein de leur communauté. C'est précisément l'objectif du parcours de formation Cybèle : développer et fidéliser une pépinière de jeunes exploitants capables de prendre des responsabilités sur le long terme. Récemment mis en œuvre au sein du Groupe Natup, nous avons eu le plaisir d’échanger avec Marion Demouge, Directrice de la Communication et de l'Engagement Coopératif, sur l’impact et l'efficacité de ce parcours unique.

LCA // Solutions + - Pourquoi avoir choisi de déployer le parcours Cybèle au sein du Groupe Natup ?Marion Demouge - Le choix de déployer le parcours Cybèle au sein de notre coopérative découle d’une volonté affirmée : mobiliser la jeune génération d'agriculteurs. Il ne s'agit pas là d'une injonction, mais plutôt d'un engagement inspirant. Nous sommes convaincus de l'importance d'ouvrir les horizons des jeunes agriculteurs, de les sensibiliser à notre stratégie tout en leur donnant une vision globale. Le parcours Cybèle nous est apparu comme une réponse pertinente à cet objectif stratégique : aller vers les jeunes, leur transmettre la nécessité de poursuivre dans ce modèle et susciter leur envie de s’impliquer à travers l'engagement coopératif.&nbsp;LCA // Solutions + - Comment s'est déroulé le déploiement du parcours Cybèle au sein de votre coopérative ?Marion Demouge - Il s'est caractérisé par une approche de co-construction, approche essentielle à sa réussite. En effet, plutôt que de proposer un programme clé en main qui ne répondrait pas à l’ensemble des attentes, Cybèle a été pensé et structuré pour permettre à chaque coopérative de se l'approprier. Cette personnalisation qui vise à répondre à chaque modèle et à chaque enjeu spécifque constitue une force incontestable du parcours !Nous avons particulièrement apprécié la collaboration qui s’est déployée de la création du programme à son déploiement opérationnel. Cécile (conseillère formation LCA // Solutions + en charge des parcours Sénèque, Palès et Cybèle, ndlr) a su faire preuve d’une grande écoute, de réactivité et d’adaptabilité à chaque étape du projet. En outre, son réseau et sa compétence en matière de formation nous ont été très précieux. Enfin, pour assurer un déploiement optimal, nous avons dès le début constitué un binôme en interne. Un moyen particulièrement efficace d’assurer la fluidité du parcours auprès des stagiaires.&nbsp;LCA // Solutions + - Quels sont les retours des stagiaires sur le parcours Cybèle à ce jour ?Marion Demouge - Ils sont positifs. Les stagiaires venaient d'horizons divers, avec des fonctionnements et des points de vue variés envers la coopération. Cependant, tous ont trouvé leur place au sein du parcours. Ils ont apprécié la qualité des intervenants et les différentes séquences quels que soient leurs formats. Leurs retours sur les modules de deux jours ainsi que sur le voyage d’étude sont unanimes : ils ont contribué à créer un esprit de promotion, favorisé la découverte humaine, renforcé les valeurs de coopération et enrichi l’expérience globale.&nbsp;LCA // Solutions + - Quels sont selon vous les points forts incontestables de ce parcours ?Marion Demouge - Cybèle c’est la synergie de plusieurs atouts puissants. Le groupe tout d’abord, d'une diversité riche, curieux et ouvert aux apprentissages. Le réseau de formateurs éprouvés ensuite : une force inestimable à laquelle s’ajoutent la compétence et l'adaptabilité de LCA // Solutions +. Mais l’alchimie ne serait pas totale sans l'implication complète de la coopérative et des dirigeants qui, à travers des points de contact avec les apprenants, relient théorie et réalité.Avec le recul, je dirais que Cybèle est une belle synthèse de la puissance de la coopération. Les échanges que nous avons pu avoir à l’occasion du voyage d’études avec la coopérative Terrena ainsi qu’avec les cybéliens et cybéliennes de Cavac en sont une parfaite illustration.C’est une réelle aventure humaine : bien plus qu'une simple formation, c'est un catalyseur d'engagement et d’excellence, une expérience d'apprentissage unique et un modèle de co-construction réussi qui offre un aperçu de l'agriculture de demain. Il a su incarner la dynamique profonde de la coopérative Natup et de ses dirigeants envers l'avenir de l'agriculture.

Cybèle : parcours d'excellence pour jeunes agriculteurs engagés

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Lorsqu'ils décident de rejoindre les parcours Sénèque et Aristée, Jean-Luc Cade et Sébastien Blot, respectivement Président et Directeur Général de la coopérative Garun-Paysanne, poursuivent une transformation profonde de leurs compétences et de leur vision du leadership. Aujourd’hui encore, ils considèrent ces deux formations comme des tremplins essentiels à leur réussite professionnelle et à la dynamique de leur duo.

Des formations d’excellence au service de la coopération agricoleLCA // Solutions + - Pourquoi avoir rejoint les parcours Sénèque et Aristée ?Jean-Luc Cade - La formation occupe une place centrale dans mon parcours. Éleveur de porcs dans les Côtes d’Armor depuis 1985, j’ai rapidement souhaité m’engager dans le monde coopératif, engagement qui impliquait une nécessaire montée en compétences. Cela m'a donc naturellement conduit vers des formations, dont le CNAM et l'École de Commerce de Rennes, qui m'ont apporté un premier bagage en matière de management. Le Directeur de Coop de France m'a ensuite proposé de rejoindre le parcours Sénèque, et ma coopérative a immédiatement adhéré à cette idée. J’ai foncé !Sébastien Blot - J’ai la chance d’avoir un parcours très rythmé au sein des secteurs agricole et agroalimentaire. J’ai travaillé dans plusieurs coopératives, j’y ai occupé des postes très variés, allant de technicien à directeur, et j’ai pu réaliser des formations qui m’ont permis d’évoluer et d’exprimer ma transversalité. Alors, lorsque mon Directeur Général me propose de choisir un parcours pour encore plus développer mon profil, j’y vois une opportunité unique de poursuivre le chemin. Après avoir étudié différentes options, j'ai choisi Aristée, convaincu par son approche transversale et ses apports uniques.Un seul mot d’ordre : se découvrir pour grandir professionnellementLCA // Solutions + - Que retenez-vous de ces expériences ?Sébastien Blot - C’est simple, j'ai adoré la formation Aristée. Les rencontres avec des intervenants exceptionnels, les liens solides tissés avec les membres de la promotion et qui perdurent au-delà, la découverte d'univers très différents du mien, la transversalité, les interventions du soir : autant d’éléments qui font de ce parcours une expérience passionnante. Aristée m'a fait sortir de ma zone de confort en me poussant à me remettre en question et en m'amenant à adopter une perspective systémique. J’en suis ressorti profondément transformé, avec un regard différent et une vision plus large de mon secteur d'activité. En bref : le bon parcours au bon moment !Jean-Luc Cade - Sénèque est une expérience extrêmement enrichissante à bien des égards. L'environnement de l'ESSEC a favorisé chez moi une réflexion approfondie tout en renforçant mon réseau professionnel. Quant aux formateurs, ils étaient impressionnants ! Le parcours a agi sur moi comme une révélation : il m’a permis de prendre de la hauteur, de voir les choses de manière plus globale et de développer une grande capacité à résoudre des problèmes complexes. J’en suis ressorti avec une vision plus claire de ma personne et de mon rôle de Président.Une complémentarité essentielle pour assurer une gouvernance solideLCA // Solutions + - En quoi ces parcours ont-ils enrichi votre relation et votre duo ?Jean-Luc Cade - Les parcours Sénèque et Aristée ont sans aucun doute joué un rôle essentiel dans le renforcement de notre duo. Ils ont créé un cadre de référence commun, une vision partagée et surtout une fluidité naturelle dans notre collaboration. Une imbrication des parcours qui nous permet de gouverner ensemble de manière performante.Sébastien Blot - Je rejoins Jean-Luc sur cette idée d'imbrication. C’est selon moi un atout majeur pour la réussite de notre duo au quotidien. Ces parcours nous ont fourni un socle de formation complémentaire qui a grandement accéléré nos prises de décision clés. En outre, ils nous ont appris à comprendre les prérogatives opérationnelles et politiques des postes de Directeur Général et de Président, ce qui est essentiel à un pilotage réussi. Mais je tiens à souligner qu’au-delà des formations, le succès d'un duo de gouvernance repose aussi sur une alchimie humaine que Sénèque et Aristée ne peuvent évidemment que renforcer.La voie du succèsLCA // Solutions + - Et que diriez-vous à celles et ceux qui hésitent à rejoindre l’un de ces parcours ?Jean-Luc Cade - Pour emprunter la voie de la réussite, il est nécessaire de s’en donner les moyens et de s'engager pleinement dans une formation d’excellence. Le parcours Sénèque offre une expérience unique, transformante et conviviale. Vous vous enrichissez non seulement des formateurs mais aussi du groupe. N'hésitez pas à vous lancer ! Hésiter c’est se priver d’une formidable opportunité.Sébastien Blot - Abordez Aristée de façon proactive si vous souhaitez en tirer le meilleur parti. Et pour le reste, vous ne serez pas déçu. Cette formation vous confère une capacité à aborder des postes de direction que vous n'auriez sans doute pas autrement. Et les évolutions de carrière qui en découlent sont significatives. Alors lancez-vous !&nbsp;

Rencontre - Regards croisés sur les parcours Aristée et Sénèque

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Léa, nouvellement employée dans une coopérative agricole rencontre différents intervenants du secteur coopératif pour répondre à ses questions sur le climat et les enjeux carbone, donnant ainsi à chaque épisode un regard différent.

Décarbonation, neutralité carbone, agroécologie ou agriculture régénératrice… Les invités vous partagent leurs expériences et de nombreux exemples.

Cette série de podcasts learning basée sur des témoignages authentiques, sensibilise tous les publics aux enjeux actuels du climat dans le secteur agricole. 

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Podcast Learning - Parlons climat, le rôle des coopératives agricoles